Olá, anônimo leitor.
Veja só, mais dois livros para minha lista de livros não lidos. Trata-se do número 4 e o número 30 da coleção editada pela Otto Pierre: Os Grandes Romances Históricos.
Deixe-me nomear a você, curioso leitor:
Número 4: Crônica do Reino de Carlos IX (Prosper Mérimée) e A Filha do Capitão (Alexander Puchkine)
La Chronique du temps de Charles IX - Novela sobre as dissidências religiosas entre protestantes (à altura conhecidos como huguenotes) e católicos, culminando em guerra civil na França do início do século XVI, cujo ponto máximo fora o conhecido massacre de S. Bartolomeu, em 1572.
Sobre a autoridade: Era filho único de Leonor Merimée e Anne-Louise Merimée na Paris de Napoleão. Seu pai era pintor e professor de desenho, o que influenciou o filho a primeiro estudar no Liceu Imperial. Deixou o Liceu para fazer Direito, formando-se em 1823.Também aprendeu latim, grego, italiano, espanhol, inglês, e russo. Foi o primeiro a traduzir obras literárias russas para o francês. Ocupou diversos cargos públicos, em todos eles destacando-se pelo bom desempenho de seus deveres. Foi nomeado (1830) Inspetor dos Monumentos Históricos, revelando-se um arqueólogo nato, combinando suas habilidades lingüísticas, uma notável avaliação histórica e sincero devotamento às artes, desenho e arquitetura. Neste mister, seus relatórios vieram muitas vezes a merecer publicação, e destaque em sua produção, ao largo da literária. A ele se deve, em boa parte, a conservação do rico legado cultural, do qual tanto se orgulha o povo francês. Neste mesmo ano conheceu e auxiliou a Condessa de Montijo, espanhola. Quando a filha dela tornou-se a Imperatriz Eugénie, da França, em 1853, Mérimée foi honrado com o cargo de senador.Prosper Mérimée morreu em Cannes, França e ali foi sepultado no Cimetière du Grand Jas.
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A Filha do Capitão: Painel da vida do povo russo no século XVIII e da grande revolta popular que, nesta época, no longínquo Volga, quase abalou o trono imperial de Catarina a Grande, A Filha do Capitão é uma obra em que a força de um escritor de gênio faz da evocação de fatos e lances históricos uma vivida atualidade ficcional, capaz de reatualizar-se, em qualquer tempo e em qualquer língua, na imaginação do leitor.
Sobre a autoridade: Aleksandr Sierguéievitch Púchkin (ou Alexander Pushkin, em forma anglicizada) nasceu em Moscou, em 1799. Sua obra, que abarca diversos gêneros literários, foi decisiva para a consolidação da língua literária russa e sua influência se faz notar em todos os escritores russos de sua geração e das posteriores. Púchkin foi pioneiro no uso do discurso vernacular em seus poemas e peças teatrais, criando um estilo de narrativa que misturava drama, romance e sátira associada com a literatura russa. O romance em versos Ievguêni Oniéguin é considerado sua obra-prima. Púchkin morreu em 1837, vítima de um duelo.
Número 30: O Emigrado (Grabriel Sénac de Meilhan)
Il est français, beau, noble, blessé. Elle est allemande, belle, noble, mariée. Elle le recueille dans son château au bord du Rhin, il la sauve d'un incendie. Ils ne pouvaient pas ne pas s'aimer. Sous la plume de Sénac de Meilhan, fils d'un médecin du roi, grand serviteur de l'Etat monarchique, l'anecdote sentimentale devient le révélateur des tensions et des contradictions dans une Europe bouleversée par la Révolution. Car " tout est vraisemblable, et tout est romanesque, dans la Révolution de la France ". Des aristocrates en exil sont contraints au travail manuel, certains sont gagnés par les valeurs nouvelles du mérite personnel et par le refus du classicisme à la française. Les frontières idéologiques et les lignes de partage politique sont déplacées par ce roman, publié à Hambourg en 1797, qui voudrait être le substitut d'une histoire de l'émigration. L Emigré, ce sont ces royalistes qui ont fui une France à feu et à sang, mais aussi tous les exilés qui, loin de chez eux, sont à la recherche de leur identité.
Sobre a autoridade: Second fils de Jean-Baptiste Sénac, premier médecin du roi depuis 1752 — et, à ce titre, anobli — et de Marie-Thérèse Tanet, d’une famille de marchands de Gironde, il suit à partir de 1756 des études de droit et correspond avec Voltaire, qui lui écrit, le 4 juillet : « Faites de la prose ou des vers, Monsieur, donnez-vous à la philosophie ou aux affaires, vous réussirez à tout ce que vous entreprendrez. » Avocat au Parlement de Paris en 1762, il obtient une charge de conseiller au Grand Conseil, émanation du Conseil du Roi, et entame une brillante carrière administrative, grâce à de solides appuis à la cour, notamment de Choiseul, dont il fréquente la sœur, la comtesse de Tess. Sénac de Meilhan est admis aux salons de la duchesse de Gramont et de Madame de Pompadour, et se lie avec Madame de Créquy. Il achète une charge de maître des requêtes au conseil d’État en 1763 et devient successivement intendant de la Guadeloupe en 1763 – où il ne se rend pas –, des îles de France (Maurice) et de Bourbon (La Réunion) en 1764, La Rochelle en 1766, Provence en 1773, Valenciennes, puis brièvement intendant de la guerre et des armées auprès du comte de Saint-Germain en 1775. En 1765, il obtient le privilège des « entrées dans la chambre du roi » et se marie avec Louise Victoire Marchant de Varennes (morte en 1789), fille d’un trésorier-payeur des rentes de l’Hôtel de ville. Le roi et la famille royale signent le contrat. Installé rue Saint-Louis, dans le Marais, le couple a deux enfants. Espérant devenir contrôleur général des finances vers 1785, il est déçu par la nomination de Necker. Dans ses Considérations sur le luxe et les richesses (1787), il réfute l’essai du Genevois, De l’administration des finances de la France, opposant à sa logique financière une logique sociale, et se montre un opposant amer. En 1786-1787, il avait déjà publié les Mémoires d’Anne de Gonzague, princesse Palatine, apocryphes. Suivent d’autres Considérations sur l’Esprit et les Mœurs (1788) et un petit conte oriental les Deux cousins (1790). En juin 1790, il émigre et séjourne à Londres, puis Aix-la-Chapelle et Rome. Un temps évoqué comme ambassadeur à Venise, il obtient finalement de Catherine II l’autorisation de se rendre à la cour de Russie. Passant par Vienne et Varsovie, où il rencontre Stanislas Auguste Poniatowski, il séjourne en 1791 à Saint-Pétersbourg, où l’impératrice lui alloue une pension et songe à lui confier un poste politique ou une charge d’historiographe. Toutefois, leurs relations se dégradent ; Catherine écrit à Grimm : « En général, je n’ai guère vu d’homme qui ait su moins ici que lui ». Quittant la Russie, il passe par Jassy, en Moldavie, où il rencontre Potemkine, puis par Varsovie et Prague. En 1792, il compose une Défense de Louis XVI. Invité au château de Rheinsberg par le prince Henri de Prusse, frère cadet de Frédéric II, il entreprend la rédaction du roman L’Émigré. Il est également accueilli par le duc de Brunswick. En 1794, il s’installe à Hambourg, où il rencontre Klopstock. En 1795, il fait paraître Du gouvernement des mœurs et des conditions en France avant la Révolution à Hambourg, ainsi que deux volumes de ses Œuvres philosophiques et littéraires. Grâce à l’intervention du prince de Ligne, avec lequel il se lie d’amitié, il obtient de s’installer à Vienne. En 1797 paraît à Brunswick son roman épistolaire, l’Émigré. En 1801, son fils cadet, resté en France, tente de le faire rayer de la liste des émigrés. Il est autorisé à s’installer chez son fils, place Vendôme. Le 7 janvier 1802, son fils cadet meurt, à l’âge de 31 ans ; Sénac retourne à Vienne. Alexandre Ier rétablit sa pension, qui avait été annulée par Paul Ier, mais il meurt à Vienne. Il est également l’auteur Du gouvernement, des mœurs et des conditions en France avant Ia Révolution, avec les caractères des principaux personnages du règne de Louis XVI, réédité en partie en 1813 sous le titre Portraits et caractères. On lui attribue aussi un poème lubrique en six chants, publié en 1778 de manière anonyme, La Foutromanie. Son fils aîné, Philippe, se marie en 1827 avec une russe et prend le nom de Philippe Gavrilovitch Demilhian. Il meurt à Kiev en 1846.
As informações destes livros foram tiradas da internet das páginas Skoob e Wikipédia.
Sinto muito, mas o livro 30 eu achei em francês - e não tive vontade de traduzir (rs).
E, agora, eles irão para minha prateleira esperando pelo dia da leitura.